Commerce de multimédias impudiques à but érogène. Fictions délurées, exhibant les pulsions sexuelles par tranches de fantasmes. Le voyeurisme* féminin y réactualise des récits refoulés, et les hommes s’en prennent à des résidus de frayeurs enfantines à se projeter ainsi dans la béance de leur imagination.
Education
Les images pornographiques sont des chimères. Leur parodie de jouissance n’est qu’illusion d’optique, sans valeur pédagogique, capable sans doute d’inspirer l’imitation d’une posture ou d’un geste, mais avec le risque de n’en retenir que le contenu obscène*.