Quote-part des lésions organiques, des séquelles chirurgicales ou de l’incidence iatrogène* d’un traitement en cours par exemple, dans la provocation et le maintien d’un dysfonctionnement de l’activité sexuelle. Examens complémentaires Cette évaluation est tributaire de l’avancement des connaissances physiologiques en la matière, mais aussi de la fiabilité des examens destinés, aussi bien chez l’homme que chez la femme, à établir un tel lien de causalité : les lacunes de leurs estimations font encore obstacle à tout consensus entre praticiens.