Veto invulnérable sur toute tentative de franchissement de l’orifice vaginal. Physiquement, des contractures et des spasmes prolongés font obstacle au corps étranger qui le touche ; mentalement, ce n’est pas seulement le trac qui agit, mais une conviction beaucoup plus archaïque « d’imperforation », un manque dans le « schéma corporel » : se deviner « creuse » est à la féminité, ce que le savoir du phallus* est à l’homme.