Sigle de l’anglais Water closet qui désigne un « placard à l’eau courante », qui devient en français le cabinet, les toilettes, les vespasiennes ( le plus souvent à six places), l’urinoir, les latrines, les « lavabos »… hauts lieux des graffitis* et des raccords de maquillage, des tripotages entre nymphettes* et du dégoût, de la masturbation des garçons et de la pudeur.
Les « sanisettes »
Guérites autonettoyantes en béton cannelé, blockhaus monoplace installé sur la voie publique, depuis 1980 à Paris, destinés à la défense des vessies négligées et des urgences digestives. Le système d’alarme automatique – qui se déclenche après vingt minutes de séjour dans les lieux, en prévention d’éventuels accidents – offre un délai suffisant… pour assurer une passe* dans des conditions acceptables, et transformer la nuit ces toilettes publiques en vestiaires de la prostitution.