L’éjaculation est suivie, à la seconde près, d’une phase bigrement « réfractaire » à la poursuite des opérations en cours. Sa durée dépend non seulement de l’âge, voire de l’état de santé du sujet, mais également de la qualité des motivations et des promesses… La rigidité de la verge peut en revanche ne pas flancher aussi rapidement, mais l’effondrement de ses commanditaires lui coupe les vivres du désir et la rend parfois embarrassante.
Érection artificielle
Lors d’érections médicalement assistées, l’intoxication des tissus érectiles maintien la rigidité bien au-delà de l’éjaculation : la phase réfractaire n’est plus synonyme d’impuissance, mais les récompenses escomptées sont gâchées par l’hypersensibilité du gland et la perte irrémédiable du désir.