Accessoire légendaire des courtisanes de haut rang du Japon classique, formé de deux boules creuses reliées entre elles par un fil et enfoncées dans le vagin. Un ingénieux systèmes de minuscules languettes de métal émet des sons délicats sous l’effet de leur malaxage par la musculature vaginale, d’où leur surnom de « boules musicales ». Billes et chapelets Les sex-shops proposent une panoplie de gadgets inspirés de cette tradition : paire de boules en plastique contenant une bille en acier dont les frottement sont sensés titiller la paroi vaginale lors des mouvements de la marche ; chapelet de « perles » de grosseur variable à insérer dans l’anus, donc à usage « unisex ». Si la vue de leur manipulation est érogène, les sensations éprouvées ne sont pas très rentables.