Excitation sexuelle liée à l’urine. Jusqu’à une date encore récente, le manque d’espace privatif  domestique et de cabinet de toilette, rendaient l’usage du « pot de chambre » à la fois impudique et banal, lui ôtant une large part d’incitation érogène. Hommes et femmes aujourd’hui renouent avec un goût pourtant en vogue au XVII° siècle, exhibant la miction, s’en aspergeant, l’associant ou non à la masturbation et au coït.

Domination

Les soumis* ne se voient  imposer d’absorber de l’urine que lorsque le rituel de domination l’a préalablement établi, sinon, il s’agit d’une improvisation abrégée de scatologie*.