Inscriptions et dessins indélébiles, imprimés sur des zones cutanées exposées au regard, ou cachées par les vêtements. Longtemps voué à l’affichage de son appartenance à des clans marginaux, le tatouage se banalise en recrutant désormais de jeunes adeptes de tous horizons.

À la fonction décorative s’ajoute, comme de tous temps, le rôle de « marqueur identitaire », que le recours quasi-systèmatique au piercing* renforce et singularise.