Révélation encore hypothétique d’une nouvelle zone érogène féminine, située sur la face avant du vagin, derrière l’os du pubis*, et impliquée surtout dans le déclenchement d’exceptionnels orgasmes « éjaculatoires ». Un soupçon de duplicité scientifique persiste, tant il est vrai que la « découverte » en question date d’une période de restauration machiste aux Etats-Unis, réaffirmant la primauté du coït sur la masturbation, emblème d’une contre-culture féministe à proscrire.

Voir Femme fontaine.