Etat de suggestion, d’affaiblissement de la vigilance, de mise sous l’influence toute puissante d’un mentor… Très en vogue à la fin du XIX° siècle, réadaptée au monde moderne et à ses besoins de thérapies câlines et paresseuses, sous le vocable de « sophrologie », cette hypothétique levée passive des inhibitions* n’a de prise que sur des intelligences affaiblies.