Terme issu de l’anglais, qui assimile « l’obsédé » sexuel au toxicomane. L’influence des courants de pensée qui prônent encore le respect d’un ordre moral aux Etats-Unis, recrute de nouveaux concepts dans le corps médical afin de « psychiatriser » l’excès de zèle érotique. Cet amalgame ne permet cependant plus de distinguer, l’amateur « boulimique » mais hors de danger pour lui-même et pour autrui, du pervers fanatique.