Il s’agit de l’inhibition* du désir sexuel, et le terme ne doit pas être confondu avec les aléas de l’accès à l’orgasme. L’absence d’envie, au masculin comme au féminin, totale ou partielle, ancienne ou récente, s’inscrit dans un contexte toujours placé sous tutelle « pénale », en ceci que la privation vient sanctionner une faute, et peu importe qu’elle soit réelle, la culpabilité qu’elle induit suffit à en souffrir.