C’est l’impossibilité d’accéder simultanément à l’orgasme et à l’éjaculation lors du coït*, parfois même par masturbation. Chez le jeune, en dehors de malformations ou de graves séquelles chirurgicales, l’inhibition* de ces puissants réflexes peut être la conséquence de troubles psychiatriques, de toxicomanies illicites ou médicamenteuses. Après la soixantaine, cette privation de jouissance compte parmi les conséquences inéluctables de l’âge. Ejaculation rétrograde Suite inéluctable de la chirurgie prostatique, l’éjaculation est refoulée vers la vessie, mais les perceptions voluptueuses de l’orgasme sont sauvegardées, c’est une jouissance « à sec », invisible. Il n’y a pas de traitement.